Il faut aussi oser rire. Le lobby des pesticides, si puissant, et ses affidés et trolls, si nombreux, prétendent incarner la science, quand nous ne serions que des idéologues. Mais dans l’affaire des SDHI, comme dans tant d’autres analogues, la science est de notre côté. Eux, ils ont le pouvoir, et la bureaucratie.
On lira ci-après un entretien publié par le journal du CNRS. Certes, il s’agit d’un face-à-face avec Pierre Rustin, l’homme par qui le scandale est arrivé. Mais pour qui connaît la lourdeur d’un paquebot comme notre grand institut scientifique, cette parution vaut affirmation, soutien et même acclamation. C’est ici.